
Le Conseil d’Administration se réunit une fois par mois au siège de la Société au 6 , Chemin de Quinsanne , 13800 Istres. Le 3éme lundi du mois à 18 heures.
Si vous avez une question ou bien si vous voulez y participer , faites une demande écrite 10 jours avant le 3éme lundi de chaque mois.
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Annonce « Carte étrangers »
Cette annonce est toujours en vigueur. Pour réserver une carte, il suffit d’envoyer un chèque de caution de 100€ à: Société de Chasse Communale d’ISTRES, 6A,chemin de Quinsanne,13800 ISTRES. Tél : Président: Michel RIBBE ; 06 30 01 01 50 . Info sur chasseistres.free.fr
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§ 8 : > Actualité de la Chasse > Divers et insolites
Changement d’heure : le passage à l’heure d’hiver et ses conséquences sur la chasse

Le changement d’heure, instauré pour optimiser l’utilisation de la lumière naturelle il y a quelques années divise chaque année une partie de la population. Mais au-delà des débats habituels sur ses effets sur le sommeil et la productivité, il existe des répercussions inattendues dans certains domaines, comme la chasse
Perturbation des habitudes animales
Le changement d’heure peut affecter directement les habitudes des animaux sauvages. La faune est extrêmement sensible aux variations de lumière, utilisant souvent l’aube et le crépuscule comme repères pour s’alimenter, se déplacer ou se reposer. Lorsque l’heure est avancée ou retardée d’une heure, cela bouleverse ces rythmes naturels. Pour les chasseurs, qui s’appuient sur ces moments clés, cela peut signifier une modification des périodes d’activité des animaux.
Modification des conditions météorologiques
Le changement d’heure coïncide souvent avec une transition saisonnière qui a un impact sur les conditions météorologiques. En automne l’heure d’hiver s’accompagne d’une baisse des températures et d’une augmentation de l’humidité. Ces changements influencent le comportement du gibier, qui modifie ses habitudes de déplacement et d’alimentation en fonction des nouvelles conditions climatiques. De plus pour les chasseurs, ces variations peuvent rendre le terrain plus difficile d’accès et nécessiter un équipement plus adapté dans les cas les plus extrêmes (montagne par exemple).
Répercussions légales
Partout en France la chasse est strictement réglementée en termes d’horaires. Le changement d’heure peut entraîner des infractions involontaires si les chasseurs ne prêtent pas attention aux nouvelles heures légales. Par exemple, débuter une session de chasse trop tôt ou la prolonger au-delà de la période autorisée peut exposer les chasseurs à des sanctions. En général la chasse au migrateur est autorisée 1 heure avant le levé du soleil et 1 heure après !
Le changement d’heure à un impact sur la législation
Réorganisation nécessaire
Pour les chasseurs, le changement d’heure impose donc une adaptation. Il est nécessaire de se réorganiser, non seulement en termes d’horaires, mais aussi en prenant en compte les comportements modifiés des animaux. Un suivi plus attentif des habitudes du gibier, une vigilance accrue et une bonne préparation sont essentiels pour une chasse réussie et sécurisée dans ce contexte.
En somme, bien que le changement d’heure puisse sembler anodin, ses conséquences sur la chasse sont bien réelles. Adopter des stratégies adaptées et respecter les régulations permet de réduire les impacts négatifs et de continuer à pratiquer cette activité en toute sécurité.
La Sénatrice Christine Bonfanti-Dossat défend fermement les chasseurs : « la chasse attaquée par des idéologies hors-sol »

Les chasseurs mènent leurs combats de façon à pouvoir continuer de pratiquer leur passion mais aussi de la transmettre aux générations futures, ce qui paraît être de plus en plus compliqué avec les années, tant les gouvernements successifs offrent nos modes de vies en pâture à des urbains qui se disent verts. La Sénatrice Christine Bonfanti-Dossat tape du poing sur la table et dénonce ces pratiques électoralistes.
Une Sénatrice sur qui on peut compter.
Il faut bien avouer que les chasseurs sont souvent les dindons de la farce en ce qui concerne la politique.
Ces derniers sont souvent dragués par différents partis qui veulent s’assurer leurs voix mais une fois que les élections sont passée, les chasseurs de France ont bien du mal à se faire entendre et à faire avancer leurs dossiers.
Les élus font tellement la sourde oreille qu’aux dernières élections Européennes, un nouveau parti politique des ruraux s’était constitué sous l’impulsion de Willy Schraen mais ce dernier n’a pas connu le succès espéré.
Heureusement, il y a quelques élus en qui les chasseurs peuvent avoir confiance et qui se bougent pour leurs modes de vie.
C’est le cas de Christine Bonfanti-Dossat qui a récemment renouvelé son soutien aux chasseurs sur plusieurs dossiers.
Elle a notamment exprimé aux chasses traditionnelles de la chasse de l’alouette.
Des mots forts comme on aimerait en entendre plus souvent.
La Sénatrice a en effet eu des mots forts pour renouveler son soutien au monde cynégétique qu’elle défend au delà des simples pratiques mais pour les traditions et la culture dont les chasseurs sont garants, en plus de rendre service à la collectivité en régulant des espèces comme le sanglier.
« Au-delà du loisir et de l’art de vivre, nos chasseurs jouent un rôle primordial au service de l’intérêt général : en effet, ils assurent des missions de régulation de la biodiversité tout en contribuant à la maîtrise sanitaire de la faune sauvage. »
Plus précisément sur la chasse aux alouettes, la Sénatrice refuse de laisser partir ce morceau de notre culture et rappelle que les anti-chasse n’en resteront pas là si on laisse faire :
« Parce qu’après l’alouette, c’est la chasse traditionnelle de la palombe qui risque d’être attaquée, nous devons défendre des traditions anciennes qui font partie de notre patrimoine culturel, traditionnel et gastronomique. Il n’est pas acceptable de voir sans cesse la chasse attaquée par des idéologies hors-sol et des mesures mortifères. Une ruralité sans chasseurs, c’est une ruralité sans identité. Nous nous battrons pour défendre les intérêts des chasseurs. »
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Pyrénées atlantiques et Landes – Grève de la chasse au sanglier

Les chasseurs des Pyrénées atlantiques et des Landes ne vont plus chasser le sanglier à partir de 1er juin prochain en réaction à la politique répressive de l’État en matière de « chasse traditionnelle ».
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« L’écologie de terrain, telle que nous la pratiquons, fait partie de LA solution. »
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Si vous désirez faire paraitre une petite annonce dans cette rubrique, envoyer la à chasse.istres@gmail.com, avec le plus de précisions possibles. Attention, vos annonces doivent être en rapport avec la chasse (chiens, matériels, vêtements, chaussures, voire véhicules utilitaires ou 4X4, bateau …)
Nous les publierons dans le prochain numéro.
Attention, nous acceptons les annonces concernant les armes et munitions, sous certaines réserves, pour respecter la législation.
“Laissez respirer les ruraux !” :
Protection de l’environnement : la FNC à nouveau agréée pour 5 ans
PAR ISABELLE LECA 12 FÉV 2024 MIS À JOUR LE 12 FÉVRIER 2024

Il vient d’être accordé à la FNC le renouvellement de son agrément au titre de la protection de l’environnement pour une durée de 5 ans, par le ministère de la Transition écologique.
« C’est à titre principal que la Fédération nationale des chasseurs œuvre pour la protection de l’environnement, en ce que cela constitue l’essentiel de son activité »
L’arrêté du ministère de la Transition écologique a été publié au Journal Officiel, le 2 février. Cet arrêté renouvelle l’agrément d’association de protection de l’environnement de la FNC pour 5 ans.
Pour le ministère, il est clair que « l’activité effective et publique de la FNC dans les domaines de protection de la faune sauvage et des milieux naturels ainsi que la gestion de la faune sauvage est attestée (…) ». Il est aussi reconnu « le rôle d’expert de la FNC en matière de protection d’une partie de la faune sauvage. Ainsi que par ses études et programmes scientifiques. »
Répondre à certains critères
Au regard de ces éléments concrets, le ministère de la Transition écologique a décidé de renouveler le dernier agrément de la FNC obtenu le 1er janvier 2019. La FNC est, tout comme les FDC (Fédération départementale des chasseurs), agréée au titre de la protection de l’environnement depuis 2011. Une association peut être agréée au titre de la protection de l’environnement si elle répond à certaines conditions. Notamment être déclarée depuis au moins 3 ans et œuvrer principalement pour la protection de l’environnement. Ceci dans le domaine de la gestion de la faune sauvage, l’amélioration du cadre de vie, la protection de l’eau, de l’air, des sols, des sites et paysages.
Lorsque l’agrément est demandé dans un cadre national, c’est au ministre en charge de l’environnement d’y répondre. Dans le cas d’une demande départementale ou régionale, l’agrément est accordé par le préfet du département dans lequel l’association a son siège social.
Une fois agréée l’association dispose alors de compétences particulières : participation aux instances consultatives ayant vocation à examiner les politiques d’environnement et de développement durable, possibilité de mener des actions en justice…

Les formations décennales de sécurité vont bientôt débuter ISTRES, LE 24 FEVRIER 2022, Instaurée par une loi du 24 juillet 2019, à la demande de la Fédération Nationale des Chasseurs, et complétée par un arrêté ministériel du 5 octobre 2020, une « formation sécurité décennale » est rendue obligatoire pour tous les chasseurs. Cette formation, dispensée par les fédérations départementales des chasseurs consiste en une remise à niveau des connaissances portant sur les règles élémentaires de sécurité, sous la forme d’apports théoriques et de mises en situation par des vidéos reconstituant des faits réels. Les formations démarreront en février, et d’ici octobre 2030, tous les chasseurs du département, soit plus de 16 000 pratiquants, devront avoir suivi cette formation, valable dix ans pour pouvoir continuer à valider leur permis. |

Votez pour la Pétition Willy SCHRAEN contre les associations ANTI-CHASSE-lien willy schraen
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Chasse et Pass sanitaire

Cher(e)s Président(e)s des sociétés de chasse,
Cher(e)s adhérent(e)s,
Vous êtes nombreux à vous interroger sur les mesures à mettre en place (ou pas) avec le pass sanitaire.
La Fédération Nationale des Chasseurs a interrogé le ministère il y a plusieurs semaines et a reçu un retour officiel de la Cellule interministériel de crise Covid (CIC).
Les activités de chasse sont des activités de loisir qui ne sont pas soumises à pass sanitaire en plein air.
Pour les activités de chasse en lieu clos (huttes, tonnes, …) il faut un pass sanitaire quand on est plus de 10 personnes.
Pour les repas en lieu clos, strict respect des règles sanitaires et :
– Si le lieu est privé, pas d’obligation de pass sanitaire à moins de 50 personnes ;
– Si le lieu est un ERP (salle des fêtes, etc.), le pass sanitaire s’impose.
Dans le cadre des formations, le pass sanitaire n’est pas nécessaire pour des formations regroupant moins de 50 personnes et respectant les règles de gestes barrière (masque, distanciation sociale).