Les territoires de la Société
échelle : 1/136 440°
Les chasseurs peuvent chasser sur des territoires au reliefs et biotopes très variés: plaine de la Crau, garrigues, collines, plaines, prairies, anciennes vergers, pinèdes, étangs et canaux…Sur ces terrains, on trouve le gibier sédentaire autochtone, lapins, perdrix rouge, lièvre, sanglier, de tirs faisans, et migratrices, caille, bécasse, grive, étourneaux, tourterelles, pigeon ramier, et parfois des canards en transit de Camargue à l’Etang de Berre….Les responsables de la Société procèdent à plusieurs lâchers de gibiers de repeuplement, de perdreaux et de faisans, ainsi que de lapins vaccinés sur l’ensemble des territoires, afin de maintenir une biodiversité mise à mal par toujours plus d’urbanisme et de nuisances et de perturbations. Notre Société contribue à l’entretien des points d’agrainage (eau, aliments, abris,…) pour aider le maintien du gibier et à l’entretien des chemins. La Société de Chasse Communale d’Istres participe, aussi, à la gestion globale de l’environnement et à la surveillance de nos milieux ruraux.
Pour nous joindre :
*chasse.istres@gmail.com,
* Société de Chasse Communale d’Istres, 6, chemin de Quinsanne, 13800 Istres
Les territoires de la Société
échelle : 1/136 440°
Les chasseurs peuvent chasser sur des territoires au reliefs et biotopes très variés: plaine de la Crau, garrigues, collines, plaines, prairies, anciennes vergers, pinèdes, étangs et canaux…Sur ces terrains, on trouve le gibier sédentaire autochtone, lapins, perdrix rouge, lièvre, sanglier, de tirs faisans, et migratrices, caille, bécasse, grive, étourneaux, tourterelles, pigeon ramier, et parfois des canards en transit de Camargue à l’Etang de Berre….Les responsables de la Société procèdent à plusieurs lâchers de gibiers de repeuplement, de perdreaux et de faisans, ainsi que de lapins vaccinés sur l’ensemble des territoires, afin de maintenir une biodiversité mise à mal par toujours plus d’urbanisme et de nuisances et de perturbations. Notre Société contribue à l’entretien des points d’agrainage (eau, aliments, abris,…) pour aider le maintien du gibier et à l’entretien des chemins. La Société de Chasse Communale d’Istres participe, aussi, à la gestion globale de l’environnement et à la surveillance de nos milieux ruraux.
Pour nous joindre :
*chasse.istres@gmail.com,
* Société de Chasse Communale d’Istres, 6, chemin de Quinsanne, 13800 Istres
Les territoires de la Société
échelle : 1/136 440°
Les chasseurs peuvent chasser sur des territoires au reliefs et biotopes très variés: plaine de la Crau, garrigues, collines, plaines, prairies, anciennes vergers, pinèdes, étangs et canaux…Sur ces terrains, on trouve le gibier sédentaire autochtone, lapins, perdrix rouge, lièvre, sanglier, de tirs faisans, et migratrices, caille, bécasse, grive, étourneaux, tourterelles, pigeon ramier, et parfois des canards en transit de Camargue à l’Etang de Berre….Les responsables de la Société procèdent à plusieurs lâchers de gibiers de repeuplement, de perdreaux et de faisans, ainsi que de lapins vaccinés sur l’ensemble des territoires, afin de maintenir une biodiversité mise à mal par toujours plus d’urbanisme et de nuisances et de perturbations. Notre Société contribue à l’entretien des points d’agrainage (eau, aliments, abris,…) pour aider le maintien du gibier et à l’entretien des chemins. La Société de Chasse Communale d’Istres participe, aussi, à la gestion globale de l’environnement et à la surveillance de nos milieux ruraux.
Pour nous joindre :
*chasse.istres@gmail.com,
* Société de Chasse Communale d’Istres, 6, chemin de Quinsanne, 13800 Istres

§ 12 : La chasse une affaire de Connaisseurs
L’écologie de terrain, telle que nous la pratiquons, fait partie de LA solution.
La politique anti-chasse est incohérente et basée sur des à priori:
« La chasse est notre bien commun. Nous devons reprendre la main face aux vociférations des « anti » de tous bords, afin d’expliquer ce qu’est réellement la chasse. Malgré le bruit de fond de nos opposants qui travestissement la réalité pour servir leur triste dessein d’une France sans plaisir ni tradition, nous devons parler aux élus mais aussi, plus globalement à l’opinion publique. Ce manifeste donne des clés de compréhension de l’impact positif des chasseurs sur les territoires ruraux.La chasse n’est pas un problème mais bien une solution. Emparons-nous de cet outil et donnons de la voix en 2025 pour expliquer inlassablement autour de nous, ce que représentent la chasse et ses valeurs. »
Et la grande offensive des animalistes ;
*Interdiction des animaux de cirque, des oiseleurs, de la pêche au vif ,TP de sciences naturelles au lycée, et de la viande dans les cantines scolaires , menaces pour la chasse et l’élevage, universités militantes, élections… (où est la liberté de notre bonne Constitution des Droits de l’Homme )
*Depuis quelques mois, les lobbies végano – animalistes avancent leurs pions avec la complicité de l’Ecologie au pouvoir politique, d’industriels de la viande artificielle et de médias sous influence. (source Chasseur Français).
*Encore des oisifs inactifs, qui n’ont rien d’autre à faire que de semer le désordre dans une société désœuvrée à l’avenir incertain.
Là encore, n’y aurait-il pas mieux à faire ? Misère humaine, exodes massifs, guerres, réchauffement climatique, mieux-être humain !!!!
PARLONS D’ ENTENTE ET DE DIALOGUE , AU LIEU DE DIVISION
Connaissez vous la légende et la vie de St Hubert ?
Par Isabelle Leca 03 Nov 2024-lechasseurfrançais

Si sur le calendrier officiel des saints en France, St Hubert est fêté le 30 mai, c’est bien à la date du 3 novembre que les chasseurs lui rendent hommage. Mais qui était il ?
Depuis plusieurs siècles, St Hubert est le saint patron des chasseurs. Mais aussi de leurs chiens, chevaux et oiseaux de fauconnerie. Si de nombreuses versions racontent sa vie, toutes s’accordent sur sa rencontre avec un cerf qui le conduisit à consacrer sa vie à dieu.

St Hubert : à 12 ans il sauve son père des griffes d’un ours
Hubert, né vers le milieu du 7ème siècle, était fils d’un duc d’Aquitaine et sa famille était issue du sang des rois mérovingiens. On le dit apparenté à Charles Martel. Il avait douze ans quand, au milieu d’une chasse, il vit un ours furieux se jeter sur son père et l’étreindre de ses griffes redoutables. À ce spectacle, il poussa un cri vers le Ciel : « Mon Dieu, faites que je sauve mon père ! ». Aussitôt, se jetant sur l’animal féroce, il lui donne le coup de la mort. Il aurait épousé Floribanne, fille du Roi Dagobert et les chroniqueurs disent qu’il était connu par « les folles joies de la vie mondaine ». Mais il était surtout connu pour sa passion vive, irrésistible, furieuse : la chasse. Il ne pratiquait d’ailleurs aucune religion, étant, certes, trop occupé de vénerie pour adorer aucun dieu.

Sa rencontre avec un cerf
Au point qu’un jour il n’a pu résister à sa passion un Vendredi saint, et n’ayant trouvé personne pour l’accompagner, il était parti chasser sans aucune compagnie. Comme il commençait à chasser, un cerf dix-cors, entièrement blanc, d’une taille extraordinaire, bondit d’un fourré et s’élança devant lui, l’entrainant dans les profondeurs de la forêt où le galop de son cheval le poursuivit. Après plusieurs heures, le cerf ne montrait toujours aucune fatigue alors que Hubert était rompu. Pourtant la course folle continua.
Soudain, il s’arrêta net. Dans une vision de lumière, Hubert vit entre les bois du cerf l’image du Crucifié et il entendit une voix apaisante qui lui disait :
- Hubert ! Hubert ! Jusqu’à quand poursuivras-tu les bêtes dans les forêts ? Jusqu’à quand cette vaine passion te fera-t-elle oublier le salut de ton Ame ?

Hubert, saisi d’effroi, se jeta à terre et, comme Saint Paul, il interrogea la vision : « Seigneur ! Que faut-il que je fasse ? ». « Va donc, reprit la voix, auprès de Lambert, mon évêque, a Maestricht. Convertis-toi. Fais pénitence de tes pêchés, ainsi qu’il te sera enseigné ».
Après sa rencontre avec Dieu, une vie consacrée à la prière
Hubert tint parole. Il se rendit auprès de Lambert, son évêque, qui le reçût avec joie. Il implora sa protection, l’assurant qu’il voulait consacrer à Dieu le reste sa vie commencée dans l’impiété. Abandonnant palais et richesses, renonçant à toutes les vanités de ce monde, Hubert se retira à Andage, dans les bois de Chamlon. Vêtu d’une rugueuse cotte de mailles appliquée sur sa chair, ne mangeant que racines, Hubert vécut là sept années, dans le recueillement, uniquement occupé à prier pour son salut. Il y vécut pauvre et parvint au complet détachement des biens de la terre. Oubliant même le trouble enivrant qui l’agitait lorsqu’il allait à la chasse. Cette chasse, qui n’avait été pour lui qu’une illusion de bonheur agréable et dangereuse.

Hubert mourut de gangrène le 30 mai 727, après dit-on qu’un ouvrier maladroit lui a écrasé la main gauche.
—===0===—
§ 2 : —===0===—
Connaissez-vous l’histoire de la chasse en France ?
Par A.T. 01 Nov 2024-lechasseurfrançais

La chasse est une activité consubstantielle à l’homme. À l’origine, l’homme chasse pour se nourrir, mais au fil des siècles, cette pratique évolue. Elle devient un loisir, une passion, et même un sport. Elle s’érige même en symbole de distinction sociale. Aujourd’hui, cependant, l’art cynégétique s’est largement popularisé. Il ne cesse de se démocratiser.
Dans cet article, nous vous proposons de découvrir comment la chasse en France a évolué. Nous partirons de l’Ancien Régime. Nous traverserons ensuite les bouleversements de la Révolution pour arriver enfin à l’époque contemporaine.
La chasse sous l’Ancien Régime (1589-1791)
Depuis l’ordonnance de 1396 édictée par Charles VI, la chasse est une activité réservée à la noblesse.
Sous l’Ancien Régime, la situation demeure inchangée. Il s’agit toujours d’un privilège seigneurial et d’un plaisir de gentilhomme. En clair, la chasse est un moyen pour la noblesse d’affirmer sa supériorité sociale sur le Tiers-État.

- Les rois de France en particulier entretiennent une relation étroite avec la chasse. Louis XIII et Louis XIV notamment sont de véritables passionnés. Ils organisent de grandes parties de chasse dans les forêts royales comme celles de Fontainebleau ou de Versailles. Le mode de chasse le plus courant est alors la chasse à courre. Les chasseurs traquent le gibier à l’aide de chiens et de chevaux.
Que dorénavant aucun noble de notre royaume, s’il n’est privilégié ou s’il n’a aveu ou expresse commission d’une personne qui la puisse donner, ou s’il n’est personne d’Église, ou bourgeois vivant de ses possessions et rentes, ne s’enhardisse de chasser, ni de tendre aux bêtes grosses ou menues, ni aux oiseaux, en garenne ou au dehors, ni de tenir pour ce faire, chiens, furets, cordes, lacs, filets ou autres harnais. » Extrait de l’ordonnance du 10 janvier 1396.
Afin de protéger les privilèges des suzerains en matière de chasse, diverses ordonnances entrent en vigueur :
- En 1515, François Ier rappelle qu’à part les nobles, personne n’a le droit de chasser “les grosses bêtes”. En outre, il formalise le fait que le braconnage sur les terres du Roi soit passible de mort.
- En 1659, Louis XIV interdit notamment le port d’armes à ceux qui ne sont pas dûment autorisés à chasser. Dix ans plus tard, il supprime la peine de mort pour braconnage, mais continue réserver la chasse aux nobles.
- En 1701, Louis XIV, conscient des dégâts causés aux récoltes, oblige tout propriétaire à réguler le gibier grâce à des battues.
La chasse après la Révolution
La Révolution française marque un tournant. La nuit du 4 août 1789, le droit de chasse exclusif est aboli ainsi que les autres privilèges. En effet, les réserves de chasse royales et le système de Capitainerie (organisme chargé de surveiller les réserves de chasse) sont abolis. En clair, le droit de chasse n’est plus exclusif. Cependant, il est rapidement réservé aux seuls propriétaires.
Malgré les apparences, il y a donc une forme de continuité entre le régime féodal et la république nouvellement instaurée. De facto, le droit de chasser est encore l’apanage d’une fraction minoritaire de la population française. Les bourgeois prennent la place des nobles. Plus tard, Napoléon Ier instaure un permis de port d’armes de chasse payant avec son décret du 11 juillet 1810.
La chasse ne se démocratise véritablement qu’en 1844. En effet, le 3 mai de cette même année, le Parlement français adopte une loi sur la police de la chasse. Elle reste aujourd’hui la base de la réglementation de la chasse. Il s’agit de la première à encadrer sérieusement cette pratique. Elle introduit le permis de chasse payant, fixe les périodes de chasse et établit la nécessité d’obtenir l’autorisation du propriétaire pour chasser sur un terrain.
Du Second Empire (1852-1870) à la Belle Époque (1870-1914)
C’est dans la seconde moitié du XIXe siècle que la chasse en France connaît un développement sans précédent. Sous le règne de Napoléon III et avec l’essor de la révolution industrielle, la chasse devient un loisir populaire. Les progrès technologiques dans le domaine des armes à feu, ainsi que l’expansion du chemin de fer, permettent un accès plus facile aux zones rurales. Les territoires de chasse s’élargissent et les espèces chassées se diversifient. On voit également apparaître les premiers regroupements de chasseurs et les linéaments de la chasse associative. Toutefois, cet enjouement s’accompagne d’un braconnage intense. Cela participe à la raréfaction de certaines espèces, fragilisées par cette sur-chasse.
Durant la Belle Époque, l’image de la chasse populaire est à son apogée. Certains auteurs comme Guy de Maupassant prennent plaisir à écrire et à relater des récits de chasse. Ils contribuent à immortaliser cette passion à travers la littérature.
La chasse du XX e siècle à nos jours
Le XXe siècle marque une étape charnière dans l’institutionnalisation de la chasse par le truchement travers une série de réformes et de lois. Celles-ci visent à structurer cette activité tout en répondant aux nouveaux défis posés par le souci de la préservation de la biodiversité.
L’une des premières étapes majeures a lieu en 1902 avec la création du Saint-Hubert Club de France. Cet organisme a pour mission de protéger la chasse française contre le braconnage. Soutenu par les pouvoirs publics, le SHCF est rapidement reconnu d’utilité publique, par le décret du 10 avril 1904. Cette reconnaissance marque une officialisation de la chasse organisée et responsable, sous l’égide des autorités nationales.
Un fait souvent ignoré par les écologistes est que la Ligue Française pour la Protection des Oiseaux (LPO) a été initialement fondée par des chasseurs en 1912. Ces derniers veulent alors défendre le macareux moine, une espèce menacée par la chasse excessive sur les côtes bretonnes. Cette initiative montre que, dès le début du XXe siècle, les chasseurs eux-mêmes prennent conscience des dangers d’une exploitation non régulée de la faune.

En 1941, en pleine période vichyste, une nouvelle avancée institutionnelle est marquée par la création des sociétés départementales de chasse. Elles sont instaurées par l’ordonnance du Maréchal Pétain du 28 juin 1941. Ces sociétés visent à encadrer la pratique de la chasse au niveau local. Ces sociétés sont devenues les fédérations départementales des chasseurs. Après la Seconde Guerre mondiale, le nombre de chasseurs explose. Il atteint environ deux millions de pratiquants, un record européen à l’époque.

Une autre étape marquante intervient en 1972 avec la création de l’Office National de la Chasse (ONC). Cet organisme devient en 2000 l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS). Ses missions sont élargies afin d’inclure la protection de la faune sauvage et la gestion des espaces naturels.
Ensuite, il faut savoir que c’est en 1975 que le permis blanc cesse d’être valable. Il est désormais obligatoire, pour obtenir un permis de chasser, de réussir un examen. Celui-ci comprend une épreuve théorique et une épreuve pratique . Ces exigences témoignent de la volonté croissante d’encadrer la pratique de la chasse pour garantir à la fois la sécurité des chasseurs et la protection des espèces.
Créé au 1er janvier 2020 par la loi n°2019-773 du 24 juillet 2019, l’Office français de la biodiversité est sous la tutelle du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires et du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire.
Le début du XXIe siècle est également marqué par des évolutions législatives significatives. La loi du 26 juillet 2000 instaure un jour de non-chasse obligatoire (le mercredi). L’objectif est de permettre à d’autres usagers de la nature (promeneurs, sportifs, familles) de profiter des espaces naturels sans risque.
Ces réformes successives montrent que, tout au long de son histoire moderne, la chasse en France a évolué vers une pratique de plus en plus encadrée et responsable. De lois en réformes, cette activité est devenue un élément central de la gestion de la faune et de la préservation des écosystèmes. Elle est également, la précieuse survivance d’une tradition profondément ancrée dans la culture française.
—===0===—