Infos brèves

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3 § :Tableau de chasse saison 2023/2024 : 142 cartes adhérents

Lapin 352+4(cabanes neuves)
Perdrix 220
Faisan 359
Lièvre 4 + 16(cabanes neuves)


Pour 31% des chasseurs soit 46 chasseurs au passage


Étourneaux 145
Grive 333
Merle 40
Ramier 127
Bécasse 9
Canard 12







§ 6 :Où en est-on sur le dossier des munitions au plomb ?


Par 
Isabelle Leca 
02 Août 2024-lechasseurfrançais
Crédit photo : Shutterstock



Le plomb : comment va-t-on chasser dans les années à venir ? c’est la grande question que se posent de nombreux chasseurs.




Comment les armuriers voient l’évolution de la législation européenne sur l’utilisation du plomb dans les munitions de chasse. Si les chasseurs sont inquiets, les 1ers concernés sont bien les fabricants d’armes.  Dans cette vidéo Yves Gollety, Président de la Chambre Syndicale nationale des armuriers fait le point sur le dossier.


Une demande de moratoire sur le dossier des munitions au plomb
Sous des prétextes fallacieux de soi-disant santé alimentaire et d’atteinte à la faune sauvage. Mais interdire le plomb dans les munitions, c’est obligatoirement revoir les armes et leur conception. Yves Gollety, Président de la Chambre Syndicale nationale des armuriers explique dans cette vidéo pourquoi un moratoire.
Interdire les munitions avec du plomb, c’est ce que veut l’Europe.


Yves Gollety qui est aussi vice-président d’InterProchasse fait le point dans cette vidéo du dossier plomb. En compagnie de Jean Christophe Chastang, président d’InterProchasse ils évoquent aussi le dossier SIA.
InterProchasse est l’interprofession de la filière chasse. Elle représente l’ensemble de ses acteurs économiques. Depuis 2009, elle œuvre pour la défense et la promotion de la chasse. Discrète sur le plan médiatique, l’interprofession mériterait d’être mieux connue. Car elle ne se contente pas de défendre la chasse. Elle construit aussi celle de demain. 
Programmes scientifiques, mise en place d’une filière venaison. Ou encore intervention lors de la crise de la grippe aviaire et plus généralement lors d’épidémies diverses.




CHASSES TRADITIONNELLES : LES

CHASSEURS DU SUD-OUEST RÉVOLTÉS
MANIFESTENT DEVANT LE TRIBUNAL DE PAU




Par Nicolas Liégeois
2 novembre 2023

Face aux attaques subies dernièrement des associations animalistes qui essaient de faire interdire les dernières études sur les prélèvements d’alouettes aux pantes et à la matole, les chasseurs ont décidé de se révolter.


Le mouvement a été organisé extrêmement vite.
Les Fédérations de chasse des Landes et des Pyrénées-Atlantiques ont appelé leurs adhérents à se mobiliser et à aller manifester cet après-midi, dès 15 heures, devant le tribunal administratif de Pau.
Plus de 200 personnes ont suivi le mouvement qui a été initié au pied levé par les Fédérations ainsi que des élus locaux qui se sont rendus sur place pour faire entendre leur agacement.




Pour rappel, les Fédérations de chasseurs concernées avaient mis en place 
un protocole expérimental qui devait permettre de
déterminer l’impact des modes de chasse visés sur l’alouette et les autres gibiers concernés.
Alors que l’expérience avait débuté depuis quelques jours, la LPO et One Voice ont déposé plusieurs recours devant les tribunaux, et ces derniers se sont rangés du côté des animalistes.
Une prise de position étonnante sur une expérience qui était menée en partenariat avec les agents de l’OFB et sous la surveillance étroite de l’État Français.
L’incompréhension est totale sur cette décision qui ne peut pourtant pas être contestée du point de vue technique, juridique ou scientifique comme l’explique Guillaume Firmin, juriste à la FNC :


Pourquoi interdire une expérience qui vise à capturer des oiseaux qui sont relâchés juste après? La question se pose.
La LPO elle-même procède de la même manière lorsqu’il s’agit de capturer des oiseaux qui sont souvent des espèces protégées. Mais les chasseurs ne peuvent pas le faire avec un oiseau classé comme gibier? Cette fois s’en est trop pour les chasseurs ardennais et du Sud-Ouest qui pratiquent encore la pante et la matole.
Il s’agit en réalité d’une vaste mascarade mise en place par les associations animalistes qui refusent que des données scientifiques soient apportées aux dossiers en cours, de peur de ne pas pouvoir supprimer de leur liste un mode de chasse qu’ils ont dans le collimateur.
Face à cette façon d’agir, les chasseurs refusent de plier et c’est pour cette raison qu’ils se sont rendus nombreux devant le tribunal administratif de Pau le jeudi 2 novembre


Si les choses n’évoluent pas et que l’expérience ne peut pas reprendre, il est certain qu’une mobilisation bien plus organisée et bien plus importante verra le jour dans les semaines à venir.

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